Ce matin , en allumant le PC , surprise pas très agréable : internet en rade complet . Impossible de se connecter . On a dû basculer en mode survie numérique , branchés sur une vieille wifi qui rame à mort . Vous voyez le genre : tu cliques sur YouTube et tu as le temps de te préparer un café , de revenir , et la page n’a même pas encore fini de charger . Quand on dit dix minutes pour ouvrir une simple page , ce n’est pas une exagération … c’est la triste réalité .
On a déjà appelé l’opérateur , qui a promis d’intervenir avant midi . Espérons qu’ils tiennent parole , parce que cette connexion de secours , en plus d’être lente , a la charmante habitude de nous déconnecter toutes les quinze minutes . Résultat : re-identification en boucle . Ça devient presque un petit rituel : ouvrir une page , taper le mot de passe , attendre , soupirer … recommencer .
On pourrait râler longtemps , mais bon , on relativise : c’est toujours mieux que rien . Au moins , on peut écrire ce petit post du jour , même si chaque mot semble passer par un filtre au ralenti , comme s’il devait traverser des kilomètres de câbles rouillés . Mais on avoue , vivement que l’opérateur règle tout ça , qu’on retrouve la fluidité d’une vraie connexion . Parce qu’écrire , c’est bien , mais écrire sans passer trois heures à rafraîchir la page , c’est mieux .
En attendant , on va prendre ça avec humour et patience . Après tout , ça fait du bien aussi d’être forcé à décrocher un peu . Et puis , une fois ce post publié , on compte filer en ville boire un café . Histoire de voir qui est déjà levé , qui est matinal et de profiter de la vie réelle , sans chargement infini ni barres de wifi capricieuses . Finalement , ce contretemps est peut-être une bonne excuse pour ralentir et observer le monde hors écran .
Bonne journée à toutes et tous .